mercredi 14 décembre 2011

Bibliothèque Universitaire : la Confédération étudiante appelle au rassemblement.


Lors de la rentrée universitaire 2011-2012 les étudiants rochelais ont eu la surprise de découvrir que désormais les impressions à la Bibliothèque universitaire (BU) sont facturées 7 cts l'unité. Auparavant, les étudiants ne payaient que 6€ environ (le prix d’une rame de papier) pour 500 impressions. Dorénavant les étudiants doivent débourser 35€ pour imprimer 500 feuilles ! Cette mesure injuste, va creuser davantage les inégalités entre les étudiants. Les étudiants les moins favorisés ne pourront pas débourser de telles sommes, notamment lorsque que l’on doit imprimer les maquettes de Travaux Dirigés ou nos exposés pour l’ensemble de notre classe.
La Confédération étudiante (Cé) a donc lancé une pétition afin de dénoncer les abus de la BU et a recueilli plus de 1500 signatures, soit 20% des étudiants de l’Université de La Rochelle. A la suite de cette pétition, la Cé a interpellé la direction de la BU sur ce problème majeur afin de trouver une solution. Aucune alternative n’a été proposée à ce jour.
Cependant, face à l’immobilisme de la direction de la bibliothèque sur ce problème, nous invitons les étudiants à se rassembler à la BU jeudi 15 décembre à midi, afin qu’une solution plus favorable pour les étudiants soit proposée et mise en place après un semestre d’arnaque.

dimanche 27 novembre 2011

Statistiques : Les étudiants étrangers.

Actuellement, la Confédération étudiante lutte contre une circulaire du ministre de l'intérieur Claude Guéant dont l'objectif est de réduire l'accès à l'emploi des étudiants internationaux une fois qu'ils ont terminé leurs études. Cette décision risque d'impacter le prestige et l'influence de nos universités qui pourraient ainsi moins attirer. A titre indicatif, l'immigration régulière pour le travail a représenté l'année dernière 23650 des 144 000 titres de séjours accordés et les étudiants en quête du premier emploi n'en représentent qu'une portion.



Attention : échelle logarithmique. Réalisation : Antoine Sobocinski.

lundi 21 novembre 2011

Les Agitateurs.

Vous n’avez pas remarqué ? Quelque chose n’aurait-il pas changé depuis quelques temps à l’Université de La Rochelle ?

Non je ne parle pas des travaux à la FLLASH… Mais du nouveau paysage syndicalo-tracto-affichage. Et oui, comme il y a deux ans environ, ils sont de retour. Réglés tels des horlogers, ils apparaissent dès que se profilent les élections universitaires. Entre ces échéances électorales : rien.

En effet, après avoir milité lors des élections en 2010 pour les élections CROUS et des conseils centraux de l’Université de La Rochelle - Conseil d’Administration (CA), Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire (CEVU) et le Conseil Scientifique (CS) - le MET et l’UNEF ont disparu du campus. Après avoir monté des listes et fait des élus, les étudiants rochelais ne les ont plus jamais revus. Ils sont venus prendre des voix, s’assurer d’avoir des élus - pour siéger au CNESER (Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche) puis au CROUS (permettant d’avoir des élus au CNOUS : Conseil National des Œuvres Universitaires et Scolaires) - afin de toucher les précieuses subventions de l’Etat pour leur fonctionnement.

Cependant, ils ont oublié quelque chose d’important. Des étudiants leur ont fait confiance pour les représenter au sein du CROUS et dans les différents conseils de l’université afin de faire valoir leur vote dans les orientations politiques de l’université. Or, ces élus on ne les a jamais vu siéger dans les conseils centraux (mis à part lors du premier conseil). Qui sont-ils ? Où sont-ils ?

A cause de cet absentéisme, les élus étudiants (ceux de la Confédération étudiante) sont en position de faiblesse lors des votes décisionnels. Le risque encouru est la mauvaise représentativité des étudiants au sein de ces organes universitaires. Et cela se caractérise par des choix de la part de l’université qui ne servent pas l’intérêt des étudiants (exemple : les impressions payantes à la BU).


Je m’adresse donc aux différents responsables du MET et de l’UNEF, qu’avez-vous à dire aux étudiants à qui vous avez menti il y a presque deux ans ? Vous portez non seulement la responsabilité du manque de rapport de forces entre les élus étudiants et le personnel universitaire mais également celle des décisions qui découlent de votre politique de la chaise vide.


En 2012 se dérouleront de nouvelles élections à l’Université de La Rochelle. La Confédération étudiante présentera des listes dans les différents conseils et siègera comme elle l’a toujours fait à La Rochelle. Car c’est notre devoir de représenter les étudiants qui nous ont élus ; contrairement à ces «agitateurs»…


Nicolas Thelliez,
élu au conseil d'UFR de la FLLASH,
secrétaire de la Confédération étudiante de La Rochelle.

mardi 15 novembre 2011

Conseils de résidence du CROUS à La Rochelle : victoire de la liste "la Confédération étudiante et les étudiants".

Priscilla Putéanus, tête de liste à la Cité Antinéa au cours de l'élection.

Aujourd'hui, mardi 15 novembre 2011, la liste présentée par la Confédération étudiante de La Rochelle avec d'autres étudiants a gagnée l'ensemble des sièges des Conseils de résidence Crous à La Rochelle.


Cette victoire écrasante s'explique tout simplement par l'absence de concurrence. Malgré ce qui peut sembler être un acte peu démocratique, la Cé-LR montre qu'elle reste fidèle à sa mission d'engagement pour la communauté universitaire. En effet, elle vient de montrer qu'elle est bien présente, et sera effectivement présente dans les conseils, pour défendre les droits des étudiants-locataires, animer les cités, etc.

vendredi 11 novembre 2011

La mobilité des jeunes : avis du Conseil économique, social et environnemental.

Source : lecese.fr
 Le Conseil économique, social et environnemental (CESE), organe consultatif de la République française, a voté le 09 novembre 2011 un avis sur la mobilité des jeunes. Voici le texte de la fiche synthétique :

La mobilité hexagonale : les freins à la mobilité sont très nombreux (administratifs, financiers, liés aux infrastructures ou socioculturels). Ces difficultés sont fortement corrélées aux inégalités sociales et territoriales.

Ces freins méritent d’être mieux appréhendés pour pouvoir être levés. Dans cette optique, le logement est le principal poste de dépenses en cas de mobilité. Pour un jeune qu’il soit étudiant, apprenti, en activité, ou en recherche d’emploi, les difficultés de transport et le coût de celui-ci peuvent aussi constituer un obstacle important, particulièrement dans les zones périurbaines et les zones rurales isolées.

La mobilité s’accroit avec le niveau de diplôme. Pour les formations techniques, en lycées professionnels ou en CFA, les jeunes privilégient le plus souvent la proximité de l’établissement au détriment d’un cursus plus conforme à leur motivation. Ils sont alors orientés par défaut.

Si la mobilité reste faible pour le premier cycle universitaire, elle est plus répandue pour les masters et les doctorats. A ce niveau d’études, les jeunes ont un projet professionnel plus défini et, de ce fait, recherchent des formations plus spécialisées que celles des premiers cycles. Elles ne sont pas toujours disponibles à proximité. La propension à être mobile devient alors plus forte. Les effectifs concernés, (étudiants au-delà de la licence ; 96 400 masters délivrés en 2008), sont cependant assez faibles.

La mobilité internationale : elle ne concerne que 16 % des étudiants (30 000 pour ERASMUS) auxquels s’ajoutent 2 000 jeunes pour LEONARDO et un nombre restreint d’enseignants et d’élèves pour COMENIUS. Il convient d’ajouter encore 8 000 jeunes à travers le programme « jeunesse en action », 62 000 jeunes chercheurs et 9 500 jeunes volontaires en VIE, VIA et VSI. Aux difficultés déjà exposées en matière de mobilité nationale, il faut ajouter les freins administratifs et de reconnaissance des acquis.

Jean-François BERNARDIN.



vendredi 28 octobre 2011

Communiqué national : Pourquoi fermer les frontières à la connaissance, à l’innovation et à la réussite ??

Avec 50% de jeunes chercheurs étrangers dans ses laboratoires, 19% d’étudiants internationaux en Master et 11% en Licence, l’Université française rayonne sur son territoire et hors de ses frontières depuis des années grâce à la diversité des étudiants qui la composent. 

S’attaquer aujourd’hui à ces quelque 300 000 étudiants, c’est à la fois remettre en cause le principe d’ouverture de notre Université et mettre en péril le système d’enseignement supérieur et de la recherche de notre pays. 

Renoncer à près de la moitié de son activité de recherche et à 15% de ses effectifs constituerait une perte considérable pour l’économie et l’innovation à l’heure où la France perd chaque année de son influence sur la scène internationale

Cette année, en plus des difficultés habituelles que rencontrent les étudiants pour renouveler leur titre de séjour (disparités territoriales, zèle de certaines préfectures...) cette rentrée 2011 s’avère particulièrement compliquée pour les étudiants internationaux hors UE avec la publication de la circulaire du 31 Mai et du décret du 8 septembre.

La première, par des contrôles approfondis lors de la demande de changement de statut (étudiant à professionnel), conduit de nombreux jeunes diplômés étrangers de l’Enseignement Supérieur ayant des promesses d’embauche ou des contrats de travail dans des entreprises françaises à se voir refuser leur titre de séjour

Le  second demande aux étudiants internationaux de justifier de 640 à 770 € par  mois sur leur compte (contre 460 € auparavant soit le plus haut montant des bourses sur critères sociaux délivrées par le CROUS). 

La «Nord-Coréanisation» de notre savoir et de notre économie par monsieur Guéant n’est en rien une réponse crédible aux angoisses de notre génération. 

Par conséquent, face au caractère suicidaire pour notre économie et notre recherche d’une telle démagogie d’Etat, les étudiants s’organisent avec la Confédération étudiante et ses partenaires et lancent une pétition nationale ce jour demandant à Claude Guéant, Ministre de l’Intérieur et de l’Immigration le retrait de ces deux mesures qui condamnent à terme le savoir, le rayonnement et la prospérité française.

mercredi 19 octobre 2011

Compte-rendu des élus de la Cé-LR du conseil d'UFR de la FLLASH du 06 octobre 2011.

Au cours de ce conseil, il a été abordé les points suivants :
  1. Décision budgétaire modificative de la FLLASH et du CRHIA ;
  2. campagne d’emploi 2012 ;
  3. statuts de l’institut universitaire Asie-Pacifique (IUAP) ;
  4. validation d’une convention de partenariat avec l’université Haluoleo (Indonésie) ;
  5. classement des demandes de financement des projets d’action internationale 2012.

1. Le conseil vote les modifications proposées par le service de comptabilité. Il s’agit essentiellement du report de subventions pluriannuelles sur le prochain exercice (2012). Il est prévu d’ajouter aux conventions de stage une lettre demandant aux entreprises de bien vouloir affecter leur taxe d’apprentissage à l’université de La Rochelle et plus particulièrement à la FLLASH et ses filières. A titre indicatif, la FLLASH a reçu cette année 7304 € de taxe d’apprentissage tandis que certaines filières de l’UFR de Sciences parviennent à doubler leur budget grâce celle-ci.

2. Sujet brûlant largement abordé au dernier conseil, le conseil doit en reparler car une nouvelle proposition du bureau présidentiel de l’université de La Rochelle a été transmise. Il s’agit de transformer un poste de professeur en histoire ancienne et médiévale (21e section) en poste de maître de conférence en 21e section et qui sera rattaché au laboratoire LIENSS. Un poste de professeur d’économie (affecté en LEA) est transformé en poste de professeur d’histoire moderne et contemporaine (22e section) et sera affecté au CRHIA. Un poste complet d’ATER en lettres est transformé en poste d’ATER d’économie et est donc transféré en LEA. Enfin, un demi-poste d’ATER de la 22e section est transféré en lettres. La perte d’un demi-poste en lettre serait en partie compensée par l’arrivée des anciens professeurs de l’IUFM de la Rochelle qui a été dissous et intégré à l’université.
Un poste de professeur de 14e section (espagnol, portugais) n’ayant pu être pourvu depuis longtemps, il risque de disparaître définitivement. Aussi, il est proposé que le profil du poste soit élargit à la 11e section (anglais). Si le poste est pourvu en 11e, il sera conservé mais ne permettra pas de pallier à l’important déficit horaire (2500 heures) qui touche le LEA, surtout que cette formation est victime de son succès avec une augmentation constante de ses effectifs (en particulier en coréen mais également en espagnol et portugais).
Le problème de la conservation du nombre de professeurs d’université s’explique par leur rôle de colonne vertébrale de la recherche bien que, comme cela a été signalé par les IATOSS, cela impacte négativement la formation des étudiants puisque certains cours ne sont que difficilement assurés voire pas du tout (en LEA). Si l’enseignement est sacrifié, c’est que la perte de professeurs pouvant encadrer des thèses pourrait être catastrophique pour la FLLASH à terme. En effet, la disparition de professeurs pourraient amener l’école doctorale du PRES à retirer à la FLLASH l’ensemble des thèses pour les affecter à Poitiers ou Limoges. Or, en perdant le 3e cycle universitaire, on pourrait potentiellement perdre ensuite le 2e cycle, c’est à dire les masters : la recherche disparaîtrait complètement.
Concernant les personnels administratifs (IATOSS), ceux-ci ne pourront profiter d’aucune promotion comme depuis plusieurs années. Il a été également demandé si l’université ne pourrait pas redéployer un ou plusieurs postes d’autres pôles vers la FLLASH (le taux d’encadrement de l’UFR de Sciences est très largement supérieur à celui de la FLLASH). Mais apparemment, la présidence de l’université répartit les postes en se basant sur les laboratoires, non les UFR. Aussi, il est fort peu probable que cela soit fait.

3. Le conseil d’UFR a voté les statuts de l’institut universitaire Asie-Pacifique. Cet institut, qui existait déjà, se voit ainsi doter d’un conseil de gestion et des missions suivantes :
  • Valoriser au profit de l’ULR l’expertise des enseignants et chercheurs sur la zone, en particulier dans le cadre des coopérations entre établissements ;
  • encourager des partenariats avec des entreprises souhaitant développer des relations avec des acteurs de la région ;
  • soutenir la mise en place de doubles-diplômes avec les universités partenaires de la région ;
  • accroître la visibilité des formations de l’Université sur la région ;
  • servir à terme de fer de lance du PRES pour la coopération avec les universités d’Asie-Pacifique.
L’IUAP reste malgré tout rattaché à la FLLASH et dépend donc de celle-ci en terme budgétaire. 
 

4. Le conseil d’UFR a voté la mise en place d’une convention avec l’université indonésienne de Haluoleo qui a pour but de renforcer les échanges de professeurs, d’étudiants ; de mettre en place des doubles-diplômes, des recherches, des thèses, des publications conjointes.

5. Dans le cadre des projets d’actions internationales, le conseil d’UFR a dû opérer un classement des demandes de financement de voyages de professeurs auprès d’universités partenaires. Le classement est le suivant :
  1. Rencontre de Diego JARAK avec l’université Benemerita Universitad Autonoma de Puebla pour faire un état des lieux des échanges, en particulier pour ce qui est des notations.
  2. Charles ILLOUZ et Eric MONTEIRO pour rencontrer les partenaires de l’université brésilienne de Santa Cruz à Bahia afin de mettre en place à leur demande un master LEA en co-diplomation.
  3. Didier POTON et Patrick MOTILLON pour se rendre à l’université d’Alberta afin d’actualiser les échanges que l’IUFM entretenait avec celle-ci, en particulier avec le département francophone ; présenter les travaux de l’ULR sur le Canada.
  4. Martine RAIBAUD et Zhimin BAI qui doivent visiter une université taïwanaise et une autre, chinoise car elles n’ont pas été visitées depuis très longtemps.
  5. Visite de Danièle ANDRE avec nos partenaires des États-Unis d’Amérique (SUNY Cortland & Charleston), en particulier pour régler les modalités des échanges étudiants.

Réactions et demandes des élus étudiants.

Afin de mieux préparer les conseils, Nicolas Thelliez a demandé que l’ensemble des documents de travail soient envoyés à l’avance par courriel, afin de préparer au mieux les Conseils d’UFR. En effet, il n’est pas normal de découvrir le jour même de la réunion le bilan budgétaire de la FLLASH !
Concernant le jeu de chaises musicales que subissent les postes de professeurs, la Confédération étudiante regrette ces solutions qui ne permettent pas à l’UFR de lettres, langues, arts et sciences humaines de se projeter sur le long terme. Cette situation est le résultat de contraintes budgétaires fortes imposées par le ministère (20 % du prochain budget sera gelé ; les prochaines maquettes pédagogiques ne doivent pas coûter plus chères malgré une réforme de la licence requérant une augmentation du volume horaire) et le non-respect des redéploiements de postes des grandes universités vers les petites comme La Rochelle prévus par la loi LRU.
Concernant le poste de langue, Antoine Sobocinki a demandé comment l’administration compte pallier le manque de professeur de portugais et d’espagnol si le poste était pourvu en 11e section : pas de réponse concrète.
Enfin, la Confédération étudiante de l’université de La Rochelle est scandalisée par le fait que certains cours ne peuvent/pourront être assurés, en particulier en LEA avec les PPP. L’ULR ayant accepté de lancer le PRL (Plan Réussite en Licence) et fait le pari de l’insertion professionnelle, elle ne peut suspendre ce module qu’est le PPP. En effet il s’agit d’un cours permettant aux étudiants d'avoir une réflexion sur leur avenir professionnel dans lequel ils sont amenés à rencontrer la Maison de la Réussite ; cellule au sein de l’Université dont l’objectif est (comme son nom l’indique) la réussite des étudiants. Il est donc inconcevable que les L1 LEA n’aient pas les mêmes garanties de succès que dans les autres filières !

Nota Bene : les élus présents étaient Nicolas Thelliez, Paul Hamidi et Antoine Sobocinski. 

Edit : Les élus de la Confédération étudiante ont également demandé et obtenu qu'une copie des comptes-rendus officiels soit affichée, au deuxième étage, pour que l'ensemble de la communauté universitaire puisse les consulter.

jeudi 13 octobre 2011

Renouvellement du bureau et pétition.

Aujourd'hui, jeudi 13 octobre, la confédération étudiante de l'université de La Rochelle a renouvellé son bureau dont voici la composition :
  • Jean-Renaud ARENILLAS, président ;
  • Nicolas THELLIEZ, secrétaire ;
  • Antoine SOBOCINSKI, trésorier ;
  • Richard DWORAK ;
  • Paul HAMIDI ;
  • Damien FERRAZ ;
  • Mathieu ROCHARD ;
  • Alexis LE DELETER.
Félicitations aux élus !!
 
Sinon, du point de vue de la lutte syndicale, la pétition contre le nouveau système d'impression (qui comme prévu rencontre des problèmes) a été signée par près de 1 000 personnes. Encore 500 et nous pourrons ouvrir des négociations avec l'administration.

dimanche 25 septembre 2011

Les impressions à la bibliothèque universitaire de La Rochelle : pourquoi la Cé fait signer une pétition.


Depuis la rentrée de septembre, les impressions à la BU sont devenues payantes et nécessitent d'utiliser des appareils différents.


  • L’ancienne procédure.
    Jusqu’à cette année, la procédure était simple : depuis un ordinateur de la BU, vous vous connectiez à une plate-forme d’impressions ou vous validiez votre impression contre un crédit par page. Ces crédits étaient au nombre de 50 offerts lors de votre inscription puis de 500 à chaque rame de papier que vous rameniez. Les imprimantes étant des imprimantes laser à l’origine, la BU ne finançait “que” l’électricité et l’entretien/réparation des machines.


  • Pourquoi cette décision de la BU ?
Du fait des sérieux problèmes auxquels fut confronté la BU l'année dernière ; c’est à dire des pannes à répétition des imprimantes couplées à un réseau informatique défaillant ayant entrainé la suspension du système de crédit ; la direction de la BU a décidé de rendre payante les impressions au tarif suivant : 0.07 € par page.


  • Où est le problème ? 
 Il n'y en pas qu'un seul. Premièrement, le système actuel devrait se révéler lent et peu pratique à l'usage, surtout quand vous avez une dizaine de personnes qui veulent imprimer en même temps. Deuxièmement, vu la quantité de documents à imprimer pour la présentation des exposés, le coût des impressions se révèlera rapidement exorbitant pour les étudiants. 


  • L'action de la Cé.

Devant le refus du directeur de la BU de revenir à l'ancien système, la Cé-LR a lancé une pétition et compte interpeller la présidence de l'université de La Rochelle via le vice-président étudiant (VPE) et si besoin porter le sujet en conseil d'administration...

L’objectif de la pétition que nous faisons actuellement signer est d’obliger la direction de la bibliothèque universitaire a ouvrir des négociations avec nous grâce à la constitution d’un rapport de forces. Ces négociations nous permettraient alors de trouver des solutions alternatives à cette décision de la BU. C'est pourquoi nous avons besoin d'un maximum de signatures, de soutiens des membres de la communauté universitaire rochelaise.

lundi 12 septembre 2011

La Confédération étudiante de La Rochelle arrive enfin sur Internet !

Premier message, première erreur. En effet, la Confédération étudiante de La Rochelle (Cé-LR) est déjà présente sur Facebook et certains de ses membres sont présents sur Twitter. Donc si nous étions bien présent sur les réseaux sociaux, nous n'avions pas de page internet de type blog (bloc-note en bon français) ou site web. Ce n'est dorénavant plus le cas avec ce premier message.

Ce bloc-note aura pour objectif de diffuser nos communiqués, de vous informer de nos actions (sauf surprises bien entendu), de répondre à vos questions. Bien que la rédaction des messages soit réservée aux membres du bureau par souci de commodité, rien ne vous empêche, surtout si vous êtes adhérent, de nous faire parvenir des textes à publier avec votre signature. Bien entendu, nous les publierons avec plaisir sauf problème juridique, opposition avec nos valeur, texte tout simplement mauvais (orthographe...).


J'écris, mais je n'ai pas répondu à une question extrêmement simple : "Qu'est ce que la confédération étudiante de La Rochelle ?" 

Et bien, la Cé-LR est une association de loi 1901 jouant le rôle de syndicat étudiant. Ces membres se sont donnés pour but de défendre et d'améliorer les droits des étudiants, leurs conditions de vie et de travail. Cette mission, pour ne pas dire ce sacerdoce, passe par des actions d'informations, des pétitions, des manifestations mais également du travail dans les différents conseils de l'université et du CROUS où nous sommes actuellement très présents
Concernant l'idéologie du syndicat, elle est la suivante : respects de la démocratie, de la justice sociale, de la laïcité ; lutte contre les extrêmes et surtout aucune attache à un parti politique en particulier.

Je terminerai ce premier billet en vous signalant que nous mettons/mettrons divers pages attachées à ce blog (liens en haut) : coordonnées pour nous joindre, liste d'acronymes, liste des élus dans les conseils...